Unité 731
Unité 731 est le nom de code datant de 1941 du département de prévention des épidémies et de purification de l'eau de l'armée du Kwantung, unité qui a compté jusqu'à 10 000 "experts" pendant la seconde guerre mondiale. Elle a été crée en 1932 au Japon.
Derrière cette appellation relativement banale se cache en fait une activité de d'expérimentation sur l'homme d'armes chimiques et bactériologiques et nombre de crimes contre l'humanité.
voir : L'article de Wikipedia.
Derrière cette appellation relativement banale se cache en fait une activité de d'expérimentation sur l'homme d'armes chimiques et bactériologiques et nombre de crimes contre l'humanité.
voir : L'article de Wikipedia.
Pingfang en Manchourie (Chine) a été un des lieux où les pires expériences ont été faites. Parmi les joyeuses facéties de ces "médecins" ont peut citer : lâcher de rats vecteurs de peste dans des villages chinois, bombes chargées de choléra sur des zones peuplées, utilisation du typhus, anthrax, variole, dysenterie, syphilis, fièvre hémorragique sur des cobayes humains, ... Le Hunan a aussi été touché par des expériences sur la peste. Voir un résumé de l'activité de l'unité 731 sur www.1939-45.org.
Le japon n'a reconnu que très partiellement en 1982 (!) les crimes de cette unité 731. Mais en 1984 les archives ont été rendues publiques dévoilant la vérité dans toute son horreur. Il faut dire que quelques membres de cette unité ont continué après guerre a occuper d'importantes fonctions scientifiques au Japon. Shiro Ishii, lui-même, le patron de l'unité, a monnayé son immunité totale en communiquant les résultats de ces "expériences" à l'armée américaine.
Ce n'est qu'à partir de 2002 que je Japon a cru bon de participer à la décontamination de son ancien camp de Manchourie, les produits étant restés en plein air pendant 60 ans.
En considérant la triste histoire de cette unité 731, on peut se demander : combien restent-ils encore de cadavres dans les placards de l'histoire japonaise ?
Le japon n'a reconnu que très partiellement en 1982 (!) les crimes de cette unité 731. Mais en 1984 les archives ont été rendues publiques dévoilant la vérité dans toute son horreur. Il faut dire que quelques membres de cette unité ont continué après guerre a occuper d'importantes fonctions scientifiques au Japon. Shiro Ishii, lui-même, le patron de l'unité, a monnayé son immunité totale en communiquant les résultats de ces "expériences" à l'armée américaine.
Ce n'est qu'à partir de 2002 que je Japon a cru bon de participer à la décontamination de son ancien camp de Manchourie, les produits étant restés en plein air pendant 60 ans.
En considérant la triste histoire de cette unité 731, on peut se demander : combien restent-ils encore de cadavres dans les placards de l'histoire japonaise ?
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